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11e Festival international
Signes de Nuit
Paris
10 - 20 Octobre 2013 |
Cité Universitaire
Bd. Jourdan, 75014 Paris
Résidence Lucien Paye
Maison du Portugal
Maison de l'Italie
Maison Heinrich Heine
College de l'Espagne
Maison du Japon |
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Focus: Arménie
Programme 2
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Jour: Dimanche 20 Octobre / Heure: 16 h
Lieu : Résidence Lucien Paye à la Cité Universitaire / Paris |
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Les différents mondes à l'honneur
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du 10 au 20 Octobre 2013
Le FISDN présente une série de programmes orientés vers des pays et régions différents. Cette section se propose de découvrir et explorer des espaces et cultures différents. L'idée étant de comprendre les spécifiés des situations régionales d'un point de vue existentiel, politique ou social, de reconstruire le relief émotionnel et intellectuel d'une région ou d'un pays donné. Dans ce travail critique, nous avons préféré les films qui échappent, dans la forme et dans les moyens d'expression, aux modes normées de la restitution du réel, les films qui résistent à cette période de "globalisation" qui tend à imposer un modèle unique de culture et de mode de vie. |
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Prendre ma vie en main (Loading my Life) |
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Harut Shatian
Arménie
2013 | 0:34:00
Le film parle d'un étudiant, un jeune homme et sa famille, l'impasse d'un homme malade, essayant de trouver le côté positif de sa vie. Quelques jours avant de partir faire son service militaire il développe un diabète et est considéré comme inapte. Là, tous ses problèmes commencent. Les études, la famille, les enfants, les injections quotidiennes obligatoires.Le jeune homme n'ayant pas accès aux soins nécessaires va devoir commettre un crime. Doutes, recherche d'emploi, naiveté et imprudence sont des préconditions à l'emprisonnement.
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Ma Limite (My Border) |
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Armen Khachatryan
Arménie
2012 | 0:59:00
Dans ce drame poétique, offrant un cadre avec les saisons qui passent, le réalisateur Armen Khachatryan détaille la minutie de chacun des jours venants et pousse la limite de la ville à travers le conflit Arménien Azerbaijan des années 90.
Un buffle blessé est récupéré par des villageois et accueilli dans une ferme, où il est considéré comme un étranger parmis les autres animaux, fermiers et réfugiés. À travers cette bête supposée insensible - et sans dialogue tel un outil - Khachatryan contemple les derniers effets causés par la guerre sur son peuple.
Extrait:
http://www.youtube.com/watch?v=8uURjTKRyNE
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